Collaboration d’un genre nouveau, les écosystèmes tendent aussi à faire de l’industrie un pourvoyeur d’emploi majeur, notamment pour les jeunes, et à l’inscrire dans un cercle vertueux de progrès.
La démarche adoptée pour la mise en place d’écosystèmes se déploie en 4 étapes :
Le déploiement du chantier des écosystèmes s’opère à une cadence appréciable. L’approche a bénéficié d’emblée de l’adhésion des opérateurs nationaux qui sont immédiatement rentrés dans la logique des écosystèmes.
le travail de structuration des filières mené durant les derniers mois, en partenariat avec les professions, a permis d’identifier celles pour lesquels il est opportun de mettre en place des écosystèmes.
Ce travail a abouti au lancement de 7 écosystèmes dans l'automobile, 6 dans le textile , 5 dans l'aéronautique, 1 dans la filière "Poids lourd et carrosserie industrielle", 6 dans la construction, 3 dans les industries mécaniques et métallurgiques, 2 dans les industries chimiques, 3 dans le cuir, 5 dans l’offshoring , 2 dans l’industrie pharmaceutique, 7 dans l’agroalimentaire et un écosystème OCP.
Des objectifs précis sont fixés aux entreprises des écosystèmes, dans le cadre de contrats de performance conclus entre les porteurs de projets d’écosystèmes et l’Etat, en terme, notamment, de création d’emplois, de valeur ajoutée et de capacités d’exportation. En contrepartie, l’Etat s’engage à apporter des soutiens appropriés et spécifiques à chaque activité en termes, notamment, de mobilisation de foncier, de formation des ressources ou encore d’apports de financements.